On a coutume de dire que nous vivons dans une société de l’image, en témoigne les multiples écrans et autres moniteurs qui remplissent et occupent notre champ de vision. Pourtant loin d’être immédiate, l’image se lit puisqu’elle est toujours une construction, puisqu’elle est toujours le fruit d’une intention. Quelques réflexions sur l’ambivalence de l’image : son caractère aussi indépassable, essentielle, qu’aliénant et trompeur.
errata : à la fin de l’émission j’ai parlé de Œdipe à tord à la place de Narcisse.