La notion de vérité est toujours exclusive, et il n’est donc pas rare qu’elle conduise à des totalitarismes. Or nous vivons dans une époque de pluralité culturelle et religieuse qui oblige à partager d’avantage l’espace des convictions pour ne pas sombrer dans de nouvelles guerres. Est-il donc toujours possible, en désignant le Christ, de parler de La Vérité?