Le naufrage du Costa Concordia est, dans l’actualité, un improbable de plus. En effet depuis quelques temps l’improbable est devenu habituel : accident nucléaire dans un pays ultra développé, scandale sanitaire malgré les organismes de contrôle, crise économique aux conséquences réputées impossibles, etc. Il est donc utile et nécessaire de questionner notre rapport à l’improbable qui est aussi notre rapport à la grâce.